Les étudiants de VIA FERRATA ont visité le Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris et le Palais de Tokyo. Ses visites ont été organisées et menée par Daphné Brottet, conférencière.
Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris :
" L’exposition donne à voir la grande diversité des supports, la
richesse des innovations techniques et la panoplie d’outils utilisés
durant six décennies de production. Hans Hartung, qui place
l’expérimentation au coeur de son travail, incarne aussi une modernité
sans compromis, à la dimension conceptuelle. Les essais sur la couleur
et le format érigés en méthode rigoureuse d’atelier, le cadrage, la
photographie, l’agrandissement, la répétition, et plus surprenant
encore, la reproduction à l’identique de nombre de ses oeuvres, sont
autant de recherches menées sur l’original et l’authentique, qui
résonnent aujourd’hui dans toute leur contemporanéité. Hans Hartung a
ouvert la voie à certains de ses congénères, à l’instar de Pierre
Soulages qui a toujours admis cette filiation.
L’exposition est construite comme une succession de séquences
chronologiques sous la forme de quatre sections principales. Composée
non seulement de peintures, elle comprend également des photographies,
témoignant de cette pratique qui a accompagné l’ensemble de sa recherche
artistique. Des ensembles d’oeuvres graphiques, des éditions limitées
illustrées, des expérimentations sur céramique, ainsi qu’une sélection
de galets peints complètent la présentation et retracent son itinéraire
singulier. "
Nathalie Du Pasquier, Installations Cabines n°1, 2 et 3, Palais de Tokyo © Aurélien Mole
Futur, ancien, fugitif. Une scène française,
Palais de Tokyo :
" L’exposition s’appuie sur une conception ouverte de l’inscription territoriale – qui rassemble des artistes né.e.s en France ou à l’étranger, vivant en France ou à l’étranger, lié.e.s provisoirement ou durablement à ce pays – autant qu’elle échappe aux effets de tabula rasa qui voudraient qu’une génération en éclipse une autre. Elle réunit au contraire des « contemporain.e.s » qui partagent aujourd’hui cet espace en évolution et aux frontières poreuses. Et cherche à dessiner les courroies de transmission par lesquelles transite cet air du temps que respirent simultanément les quarante-quatre artistes ou collectifs d’artistes réuni·e·s pour l’occasion. Des artistes né·e·s entre les années 1930 et les années 1990, mais qui vivent et travaillent tou·te·s, dans et avec leur époque. "
Martin Belou, Demain les chiens © Aurélien Mole
Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris
Palais de Tokyo
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Futur, ancien, fugitif. Une scène française,
Palais de Tokyo :
" L’exposition s’appuie sur une conception ouverte de l’inscription territoriale – qui rassemble des artistes né.e.s en France ou à l’étranger, vivant en France ou à l’étranger, lié.e.s provisoirement ou durablement à ce pays – autant qu’elle échappe aux effets de tabula rasa qui voudraient qu’une génération en éclipse une autre. Elle réunit au contraire des « contemporain.e.s » qui partagent aujourd’hui cet espace en évolution et aux frontières poreuses. Et cherche à dessiner les courroies de transmission par lesquelles transite cet air du temps que respirent simultanément les quarante-quatre artistes ou collectifs d’artistes réuni·e·s pour l’occasion. Des artistes né·e·s entre les années 1930 et les années 1990, mais qui vivent et travaillent tou·te·s, dans et avec leur époque. "
Martin Belou, Demain les chiens © Aurélien Mole
Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris
Palais de Tokyo
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